Gelli printing…

…ou impression à la plaque de gélatine

Un truc, découvert sur instagram, que je voulais essayer depuis un moment.

La chose indispensable, c’est évidemment la plaque de gélatine, une plaque transparente, souple, épaisse d’ un centimètre à un centimètre et demi. Soit on l’achète, soit on la fabrique soi-même, avec des ingrédients peu coûteux : gélatine alimentaire (en poudre ou en feuilles), eau et glycérine ; ce que j’ai fait…

A part la plaque, il faut des peintures acryliques, des pinceaux, éventuellement un petit rouleau de caoutchouc pour étaler la peinture.
Si vous cherchez « gelli printing » ou « gelli prints », vous trouverez une foule d’articles ou de tutos qui vous montreront plein de facettes de cette drôle de technique.

Après plusieurs tâtonnements, j’ai obtenu un résultat pas trop mal.
Il y a eu plusieurs étapes :
– enduction de la plaque à l’acrylique avec du jaune et du vert (jaune étalé au rouleau, vert au pinceau, en étirant la peinture pour fondre les deux couleurs).
– on y dépose une feuille de papier et on frotte bien, en insistant sur les bords. Magique : la peinture se transfère sur le papier, qui va constituer le fond (on commence par soulever délicatement un coin pour voir si le transfert s’est bien fait, sinon, on continue à frotter le papier).
– enduction de la plaque avec de l’acrylique noire, en couche assez fine, au rouleau (si la couche semble trop épaisse, repasser plusieurs fois le rouleau et décharger chaque fois la peinture sur du papier.
– y déposer délicatement des plantes séchées (plus facile) ou pas, en une composition harmonieuse ; j’ai aussi utilisé du jute effiloché.
– recouvrir d’une feuille de papier, et bien frotter, comme précédemment, pour y transférer la peinture noire. J’ai utilisé un papier fin appelé « Butterbrotpapier » (littéralement « papier pour pain beurré », pour emballer les sandwichs, vendu en rouleau comme le papier cuisson), acheté dans mon petit supermarché allemand habituel. Ce papier fin a l’avantage de permettre de bien appuyer autour des végétaux, mais tout autre papier fin, ou simplement du papier pour imprimante, conviennent aussi.

– on enlève le papier, puis on retire doucement les plantes (on pourra les conserver pour les réutiliser). Il reste sur la plaque les motifs des plantes, en noir.
– on applique la feuille préparée pour le fond, et on frotte bien. Il faut prendre soin de faire correspondre la zone colorée avec la plaque. L’image des plantes se transfère sur le fond ! Et voilà !

Les vidéos d’internet laissent entrevoir plein de possibilités : utilisation de tampons, de pochoirs, transfert d’images faites avec une imprimante laser, etc.

Avec un « passe-partout » en Canson épais

Comme il restait de la couleur sur la plaque, après la dernière étape, j’ai refait une impression. Elle est bien sûr plus pâlotte (« impression fantôme », disent les spécialistes du gelli printing), j’y ai rajouté un premier plan bleu.

 

Une carte, bricolée avec l’étape intermédiaire

Après usage, s’il reste des résidus de peinture, on nettoie avec un chiffon humide.
Si la plaque est abîmée, il suffit de la liquéfier au micro-ondes (pas trop fort, pour ne pas dépasser les 60°), et de la laisser à nouveau reposer. Mais ça, je ne l’ai pas testé, je n’en suis pas là.

La recette de la plaque !
Pour une plaque d’environ 22 cm sur 15 :
– Dans 110 mL d’eau froide, j’ai versé 7 sachets de gélatine en poudre (9 g par sachet).
La solution prend très vite, il faut remuer vigoureusement.
– J’ai ajouté 225 mL d’eau chaude (il paraît qu’il ne faut pas dépasser 60°, sous peine de détruire la gélatine), puis 165 mL de glycérine.
– Quand tous les éventuels grumeaux ont été dissous, j’ai versé au fond d’une boîte rectangulaire en plastique, au fond lisse, sans motif. Il faut essayer d’éviter les bulles en surface. Vaporiser de l’alcool (j’ai pris de l’alcool à désinfecter, à 70°) permet de les supprimer.
– Laisser reposer sur une surface plane, 12 h au moins, mais 24 h, c’est mieux. On obtient une belle plaque, bien épaisse, à la surface collante (ce qui est indispensable pour que ça marche). La dégager délicatement du fond de la boîte (on peut passer autour avec un couteau.
Je conserve ma plaque dans la boîte dans laquelle elle a été moulée, couvercle fermé.

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Le Petit Prince et Chagall

Tête et mains occupées, c’est un plaisir fou de « patouiller » la terre. Presque ex-aequo avec la couture…
Nous avons la chance inouïe d’avoir un animateur sans cesse en recherche, et il y a toujours des découvertes, nouvelles terres, nouvelles techniques, etc.

L’avant-dernier sujet proposé : un modelage à partir d’une situation de la vie quotidienne, présente ou passée, puis décoration aux engobes de couleur.
A titre d’exemple, Gilles nous avait apporté une statuette d’un petit garçon juché sur un rocher… ce qui m’a fait penser au Petit Prince sur sa planète. Certes, je me suis un peu écartée du sujet, il ne s’agissait pas franchement de vie quotidienne, mais finalement, le travail était le même. Je me suis inspirée d’un modèle trouvé sur Pinterest.


Peinture aux engobes que nous avions à l’atelier, sur terre crue. Il y a eu quelques petits problèmes, le blanc s’est complètement effrité au séchage, ainsi que ceux mélangés au blanc. Le mouton est ainsi resté nature, et le renard a été peint par la suite avec de l’acrylique.
La phrase à l’arrière a été écrite après biscuitage, avec un crayon spécial céramique, qui tient à la cuisson. Glaçure transparente brillante uniquement sur la planète, pour un contraste brillant/mat.
Comme il y a eu quelques petites fissures dans les engobes, j’ai passé, par prudence, du vernis mat sur le Petit Prince, vernis qui a aussi l’avantage de protéger des traces de doigts, par exemple.
Mon modelage a très vite trouvé un propriétaire : Maël, qui a participé avec son école à un spectacle sur le Petit Prince en fin d’année scolaire.

Et le dernier sujet : créer un ensemble de pièces (cruche, tasse, gobelet, huilier, vinaigrier, théière…) dans l’esprit des céramiques de Chagall ; sur terre blanche, décor aux engobes, gravure au couteau ou à la pointe sèche, émaux partiels…

J’en suis à … une pièce, un beurrier, mais j’espère bien avoir, à l’occasion, le temps d’en faire quelques autres (il n’est pas interdit de rêver), parce que j’ai adoré ce travail.

Demi-sphère moulée dans un bol.
Je me suis baladée pour internet pour trouver des motifs de Chagall (méthode du moindre effort, j’ai agrandi sur mon smartphone à la taille voulue, et décalqué sur du papier calque, directement à partir de l’écran). Puis gravure des contours des dessins sur la terre. Pour le cheval (?), animal récurrent chez Chagall, une figurine d’âne de crèche, sur internet m’a servi de modèle.
Peinture aux engobes. J’avais trois petits pots d’engobes de la gamme Velvet -bleu vif, turquoise, rouge- achetés chez Céradel il y a un… temps certain, et même pas ouverts (pas osé me lancer, la trouille d’utiliser un produit nouveau plus forte que l’envie.). Et là, ça a été l’enthousiasme. Primo, ces engobes peuvent être utilisées aussi bien sur terre crue que sur biscuit. Deuzio, elles sont d’une qualité extra et leur application est un vrai régal.
Après biscuitage, quelques détails à l’émail noir (pattes des oiseaux, « signature »…) et glaçure transparente brillante sur le tout. Seul petit bémol, les couleurs des engobes foncent sous la glaçure, et le beau « electric blue » a viré au bleu sombre.

Mon engouement tout neuf pour les engobes m’a poussée à m’enhardir, et à tenter une peinture plus libre pour la soucoupe (17 cm de diamètre). Je n’ai utilisé que mes trois propres engobes, en tentant des mélanges. Rajouts à l’émail noir après biscuitage, et glaçure brillante transparente.
Chaque matin, je me réjouis de retrouver mon beurrier sur la table du petit-déj (même si mon mari trouve qu’il prend trop de place au frigo !).

Un plat carré peint d’après « l’oiseau bleu et gris » de Braque attend la rentrée, pour la cuisson. La peinture aux engobes a vraiment été une révélation pour moi, avec l’envie de faire plein de trucs !

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Cyanotype

Un cyanotype, vous savez ce que c’est ?
Wikipédia explique : « Le cyanotype est un procédé photographique monochrome négatif ancien, par le biais duquel on obtient un tirage photographique bleu de Prusse, bleu cyan.
Cette technique a été mise au point en 1842 par le scientifique et astronome anglais John Frederick William Herschel.

En pratique, dans une pièce sombre, on badigeonne une feuille de papier avec un mélange à parts égales de deux produits, le ferricyanure de potassium et le citrate de fer ammoniacal vert. Malgré leurs noms barbares, ils ne sont pas dangereux.
On laisse sécher, puis on y dépose un négatif ou bien des végétaux, frais ou secs. On recouvre d’une simple vitre (surtout pas anti-UV !), pour bien maintenir le tout.
On met au soleil. Très vite, la feuille prend une couleur brun/bronze. Après 10 à 30 minutes, on la lave dans un bac d’eau, plusieurs minutes, en changeant l’eau si elle se colore. Et là, la magie opère : ce qui était exposé au soleil vire au bleu intense !

Premier essai, avec graminées et monnaie du pape


Deuxième essai, sur un morceau de tissu…

… utilisé immédiatement dans la confection d’un sac,
avec une taie de traversin ajourée

Si le sujet vous intéresse, il y a une foule d’articles et de vidéos qui expliquent tout sur internet.
On peut acheter un kit avec les deux produits, ou se les procurer en poudre (on les prépare alors en rajoutant de l’eau, de préférence distillée). J’ai acheté les poudres sur le site de Disactis, une société spécialisée dans les produits chimiques pour photos.

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Liberty, crochet, porcelaine…

Quand on commence à coudre pour Lison, on ne peut plus s’arrêter…

Une robe « Charlotte » de « la petite garde-robe des bébés de la droguerie »,
en taille 18 mois (déjà faite ici en taille 1 an),
en liberty de mon stock, of course !

Avec des boutonnières, que ma Bernina fait toute seule. Même plus peur !
Pour le problème des épaisseurs, que mon pied n’assume pas, j’ai trouvé une solution. C’était le cas pour la boutonnière tout juste après la couture d’assemblage du haut et de la jupe : j’en ai fait une horizontale à ce niveau. Elémentaire, il suffisait d’y penser !

Un peu de céramique


Des oeufs à suspendre… à Pâques ! La potière dont je fréquente l’atelier un jeudi sur deux a une foule d’émaux et plein d’emporte-pièce de toutes formes, petits et grands. Il faut que j’en profite encore cette année, elle arrêtera son activité fin décembre.

Et des essais.
Avec notre maître, Gilles, nous avons essayé la porcelaine papier, fabriquée par nous-mêmes (30 g de papier hygiénique malaxés avec de l’eau, puis on ajoute 1 kg de poudre de porcelaine).
Nous avons étalé des plaques très fines, puis nous y avons appliqué diverses empreintes (plaque de structure, cordon, lentilles, tampons, pâtes diverses, alphabet, petites pennes et coquillettes, etc). L’objectif, c’était d’obtenir un objet translucide. Et ça a fonctionné.
Un photophore, bien imparfait (j’ai renforcé les joints à l’intérieur, ce qui n’aurait sans doute pas été nécessaire, mais a créé des épaisseurs disgracieuses quand il y a de la lumière). Malgré tout, ce premier essai m’a satisfaite.


Biscuitage, puis cuisson à haute température.
Pour la lumière, un spot pour placards, rechargeable avec un cordon USB.

Un second essai (avec de la porcelaine papier toute prête), photophore cylindrique avec empreinte de petites japonaises (une  ribambelle sur un même tampon en longueur). Pas mal, pas de surépaisseurs cette fois… Même pas de biscuitage, une seule cuisson à 1250°.

La porcelaine papier, comme la porcelaine, est blanche (ce qui n’est pas évident sur les photos).

Un peu de crochet pour finir,
la dînette de Lison s’agrandit…


Religieuses, éclairs, petits fours et donut sont venus enrichir le rayon pâtisserie.


Carottes, poireau, betteraves rouges, tomate et piment. Ne pas trop chercher une concordance des proportions…
Crocheter des petits trucs m’empêche de roupiller quand je regarde un film ou une série (VO sous-titrée à éviter !).

La crise du covid m’avait fait découvrir les séries, il fallait bien trouver un moyen de se vider la tête, les soirs de confinement, et j’avoue en être devenue fan. Il y en a d’excellentes.
Mais je n’ai pas cessé de fréquenter notre unique ciné. Le dernier film que j’ai vu est une véritable pépite : « Je verrai toujours vos visages ». S’il passe près de chez vous, foncez !
« Une fiction généreuse sur le pardon et la guérison.
Des victimes dialoguant avec des criminels… La justice restaurative, explorée dans un film qui a du cœur, comme sa réalisatrice Jeanne Herry ». (Télérama)

Je vous souhaite un joli mois de mai. A bientôt !

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Toujours pour Lison…

En progrès… Cette fois, mon dernier passage ne date que d’un mois (un petit peu plus…).

L’arrivée des beaux jours donne une furieuse envie de coudre des vêtements de petite fille. Et puis, il faut que je me dépêche d’amortir le livre « la petite garde-robe des bébés de la droguerie », les tailles s’arrêtent à 18 mois !


Combinaison « Louison », taille 18 mois, en velours à fines côtes. Sur le modèle original, les pattes étaient juste décoratives, et c’est le dos qui était boutonné. Comme c’est plus pratique d’enfiler la combinaison comme une salopette, j’ai bricolé le patron pour créer deux vraies pattes de boutonnage et j’ai zappé l’ouverture du dos (ce qui n’était pas pour me déplaire).
Déstockage pour la broderie de la poche : un bouton mouton en bois et laine (acheté quand Malo était tout petit…), et des mini-boutons pour les fleurs.

Patron déjà utilisé en 3 mois ici, puis la version volantée, taille 1 an, réalisée l’été dernier en double gaze de coton (de « la droguerie ») :


Utiliser un patron pour la troisième fois… n’empêche pas de se planter ! En voulant faire vite, j’avais confondu dos et devant, pour la finition de l’entrejambe. La bourde a été proprement réparée, même si j’avais déjà cranté la couture qu’il ne fallait pas. Avec l’âge, je ne panique plus et garde en tête le principe des Shadoks : « S’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème ».

Et, toujours d’après « la petite garde-robe des bébés de la droguerie », la brassière Léonie, taille 18 mois, en liberty, of course !


Pour une fois, je n’ai pas reculé devant les boutonnières. Le pied spécial de ma Bernina les fait très bien, toutes automatiquement identiques à la première réalisée.
Mais j’ai eu cependant un problème : j’ai défait trois fois celle du haut (puis renoncé), toujours irrégulière ou déviée, sans doute à cause de la couture du col juste au-dessus. Problème résolu avec une pression cousue dont les points de couture sont cachés à l’endroit par un bouton. Vous avez un truc pour obtenir une jolie boutonnière lorsqu’il y a des différences d’épaisseur ? Si oui, je suis preneuse.

En cours : une robette en liberty pour l’été !

A bientôt !

 

 

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Pour Maël, pour Lison

J’ai beau prendre de bonnes résolutions après chaque billet, plus de trois mois se sont à nouveau écoulés depuis le dernier (WordPress m’a même redemandé mes identifiants quand je me suis connectée…). Je n’ai pourtant pas envie de l’abandonner, ce p’tit blog. Mais le temps file plus vite que le sable entre les doigts. Un effet de la vieillesse ?
Je vais changer de dizaine cette année… Autant le précédent passage m’a laissée indifférente, autant celui à venir me stresse…

En fait, j’aurais pas mal de petits trucs à rajouter à ce blog, commençons donc par les derniers.

Un sweat pour Maël, avec un cahier de charges défini par le destinataire :
gris, deux kanjis japonais en rouge (un petit devant, un plus grand au dos, poche kangourou, capuche).

Patron pochette Burda Kids 9482, dont j’avais déjà utilisé le pantalon.
J’ai décalqué le patron du sweat en taille 11 ans, découpé le tissu en toute confiance (c’était un patron Burda, quand même !).
Une oeuvre de longue haleine, finalement…
Assemblage des pièces de la capuche (l’avant était fermé sur quelques centimètres) en octobre, essayage aux vacances de la Toussaint, et là, surprise : la tête de Maël ne passait pas !
Le tissu de sweat molletonné n’était absolument pas extensible en largeur, un peu en longueur et dans le biais. Le patron conseillait du sweat, je ne n’attendais pas à ce genre de déboire. Depuis, en lisant la description de tissus sweat sur les sites d’internet, j’ai constaté que certains sont extensibles, d’autre pas.
Le fait qu’il y ait problème a fait traîner les choses. Il me restait juste assez de tissu pour recouper la capuche. J’ai rallongé les devants en les terminant en pointe pour pouvoir les superposer au lieu de les coudre comme un petit col cheminée, et je n’ai pas cousu les pinces prévues. N’ayant pas encore surfilé les coutures des manches raglan, je les ai défaites (heureusement que je n’avais pas utilisé le point extensible) et j’ai diminué les marges de couture, ce qui a agrandi l’encolure. Nouvel essai à Noël : la tête passait. Ouf !
Fin de l’ouvrage en janvier !
Contente d’être arrivée à bout de ce boulet, j’ai rajouté une petite déco au dos, à l’intérieur.

Et maintenant, le « truc » qui m’a permis de peindre les motifs en deux temps-trois mouvements. Il y a des années, j’avais lu sur un blog qu’il existait du « freezer papier », qu’on peut utiliser comme pochoir pour peindre du tissu : on dessine le motif sur le côté mat du papier et on le découpe. On applique le côté brillant du pochoir ainsi obtenu sur le tissu au fer à repasser. On peint, on peut dépasser sur le papier, la peinture ne bave pas. Quand elle est sèche, on retire tout simplement le pochoir.
J’avais lu aussi que ce papier, assez cher, peut être remplacé par celui utilisé pour l’emballage par les bouchers et fromagers. Depuis, j’en ai essayé plusieurs, tous ne fonctionnent pas, il faut faire l’essai, mais celui de la petite boutique où j’achète des produits locaux marche parfaitement.
Les kanjis ont été réalisé avec de la peinture Setacolor pour tissu, l’arche noire simplement au feutre indélébile (mais toujours avec un pochoir de papier d’emballage de fromage).
Pour info, le kanji du devant signifie « main », celui du dos « partager, couper ». C’est du moins ce qu’internet m’a dit. Maël les avait choisis pour leur esthétique.

Quelques bavoirs pour Lison.
Les bébés, ça bavouille quand les petites quenottes pointent.

Patron des « Intemporels pour bébés, tome 2 ».
Réversibles, en jersey (des restes de jersey uni à l’envers), fermés par un bouton pression Prym métallique. Lasse de m’énerver avec le petit outil fourni avec les pressions, j’ai acquis une pince Prym Vario : avec elle, un jeu d’enfant !

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Je reviens…

Presque 3 mois depuis le dernier billet… Lire la suite

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Il n’y en a plus que pour Lison…

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Robette pour Lison

Des semaines que je n’ai pas ouvert mon ordinateur !
Le mois de juillet a été bien rempli, avec enfants et petits-enfants à la maison. Un mois de bonheur d’être ensemble. Lire la suite

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Encore pour Lison !

Grâce à Lison, j’ai repris mes crochets. Et quand on commence… Lire la suite

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