Flan antillais

Un excellent dessert,
vite fait

Il vous faut :

1 boite de lait concentré sucré de 400 g
1 fois et demie la contenance de la boîte en lait entier
3 oeufs
80 à 100 g de noix de coco râpée
caramel fait avec 100 g de sucre

Faire le caramel et en enduire un moule à cake.
Mixer tous les ingrédients. Verser dans le moule caramélisé.
Cuire au four au bain-marie, à 180°, 30 à 40 min.
Démouler froid et déguster nature ou nappé de sauce caramel (en délayant rhum blanc et caramel).

C’est l’une des deux recettes que j’ai rapportées de notre séjour chez Françoise et Jacky Papin, au Logis de Clope Chien. Quand je vous disais que les petits-déjeuners y étaient royaux…

C’est si bon que j’en suis à la 4e ou 5e édition, depuis octobre.
Pour la cuisson, la première fois, j’avais lu rapidement et zappé « au bain-marie »… J’ai cuit le flan à 180° à chaleur tournante, une quarantaine de minutes, et c’était parfait. La deuxième fois, je l’ai cuit au bain-marie, mais au démoulage, il s’est un peu écroulé, il manquait de fermeté.

J’applique donc ma première méthode de cuisson… Pour voir si le flan est cuit, enfoncez-y la lame d’un couteau ou une aiguille à tricoter : si elle ressort sans traces, c’est bon. Eventuellement, couvrir d’alu en fin de cuisson.
Je réalise ce flan la veille. Quand il est refroidi, je l’entrepose au frigo pour la nuit, et je le démoule le lendemain, quand il est bien froid.

La noix de coco, plus légère, remonte à la surface au cours de la cuisson. Le flan se présente donc au démoulage avec deux couches de textures bien distinctes. C’est sympa, à la fois pour la vue et pour le goût.

… et un petit aveu pour finir : je ne suis vraiment pas douée pour la confection de caramel, je ne sais jamais quand arrêter la cuisson. J’ai donc utilisé du caramel tout prêt… Bien bon quand même…